ILS VIVENT L’EXPERIENCE ERASMUS+ À BUDAPEST ET NOUS EN PARLENT…

06/11/2018

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Adrien et Stéphane, étudiants en DCG3, suivent leur premier semestre à l’Université de Budapest. Au-delà de l’expérience des cours, ils découvrent la culture, l’architecture hongroises.

« Notre voyage à Budapest se passe très bien depuis notre arrivée le 26 août. Notre intégration au sein de l’université s’est bien déroulée et nous avons sympathisé avec de nombreuses personnes. 

 

« Nous avons effectué plusieurs visites notamment les lieux les plus connus de la   ville : musées, églises, parcs, thermes, château, parlement. » Adrien HAMEL

 

Nous sommes arrivés à Budapest en Hongrie le 26 août 2018. Nous avions des cours une semaine après notre arrivée donc nous avons profité de ce temps libre pour visiter la ville de Budapest. C’est une ville magnifique et nous n’aurons probablement pas assez de temps durant notre séjour pour découvrir tous ses aspects, tellement la ville est riche de culture et d’histoire.

Entre les nombreux musées, églises, parcs, thermes, le château, le parlement, et tous les autres lieux historiques, il y a beaucoup à faire.

La ville de Budapest est également connue pour ses « Ruin pubs », des endroits conviviaux où on peut se détendre pour prendre un verre et qui ont la particularité d’avoir un décor unique dans des immeubles autrefois abandonnés. Elle est également célèbre pour sa gastronomie locale, comme par exemple le goulash, une soupe hongroise à base de boeuf.

Nous avons ensuite débuté nos cours à l’université Kodolányi János Egyetem où nous avons fait la connaissance de nouveaux camarades de classe venant de toutes les régions du monde.  Nous nous sommes très vite intégrés et nous avons d’ores et déjà passé de très bons moments avec eux. Par ailleurs, les cours uniquement en anglais nous permettent de nous améliorer dans cette langue et d’être ainsi plus à l’aise à l’oral.

Ce séjour est pour le moment une formidable expérience qui nous permet de nous ouvrir au monde et de découvrir de nombreuses cultures très différentes. » Stéphane LAUDIC

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